Pages: 288.
Éditeur: Albin Michel.
Date de sortie: 20 août 2015.
Prix: 19€
L’histoire:
« La vie d’un hypermarché bat au rythme de l’humanité manipulée. Et cela fait vingt ans qu’elle participe à cette manipulation. »
Un univers absurde, construit sur le vide et les faux-semblants. Un premier roman implacable, glaçant, dérangeant.
Mon avis:
Tout d’abord merci aux éditions Albin Michel de m’avoir envoyé ce livre! Je ne l’aurais certainement pas acheté sans ça. Et pour cause, ce n’est pas vraiment pour moi…
Pour vous dire la vérité, je ne sais pas trop quoi penser et donc vous dire sur ce livre. J’avais d’abord pensé que c’était un roman, genre chick-lit, où l’on suivant la jeune femme, et bien non. Je me suis donc dit ensuite que c’était une satire, et bien un peu…
Cela se veut une satire, mais ça a l’air tellement gros, tellement grotesque par moment que j’ai du mal à me dire que c’est comme cela dans la réalité. En fait c’est une satire romancée!
Le livre est divisé en deux parties. Dans la première, elle monte les échelons de la hiérarchie plus vite qu’à son tour et dans la deuxième, c’est la descende. La première partie passe encore, on voit comment elle manipule aussi bien ces collègues que ces patrons pour avancer et ça marche 🙂 Mais la deuxième est un cran en dessous. On rencontre « l’autre », qui est l’autre? Et ben, on ne sait pas…Un manipulateur, un gars sympa, qui veut aider ou peut-être pas…Je n’ai pas vraiment compris…
En fait, je n’ai pas vraiment compris le projet, je n’ai pas aimé cet « autre », je n’ai pas été conquis mais c’est un fabuleux page-turner! On a envie de savoir la suite, ce qu’il va se passer, la fin.
L’ambiance est nuancée également. Une fois tout le monde se déteste et se méfie, une autre fois, tout le monde s’adore et ils vont tous boire un verre ensemble. Une fois la personnage principale est sympa, une fois elle fait une crise paranoïaque ou il faut se méfier de tout le monde…
C’est peut-être cela le plus dur dans ce bouquin. On fait trois pas en avant, avant d’en faire quatre en arrière!
C’est peut-être la chronique la moins claire que j’ai faite jusqu’à maintenant, mais c’est aussi celle dont j’aurais eu le plus de mal à écrire! En un mot: J’ai pas compris!
Ma note:
Je ne donnerais pas de note. Non pas que j’ai complètement détesté ou que j’ai complètement adoré, non pas par complaisance ou par auto-censure. C’était « bof », mais j’ai le sentiment de ne pas avoir compris ce livre, tout simplement. Et comment donner honnêtement une note dans ce cas?
Et vous? L’avez-vous lu? Avez-vous aimé? L’avez-vous compris?
Dites-moi tout!
14 mars 2016 at 14 h 51 min
C’est sûr que quand on donne 9?5/10 à marc lévy, on prouve sa clairvoyance littéraire…
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14 mars 2016 at 16 h 06 min
Que voulez-vous… On fait ce qu’on peut avec ce qu’on a 🙂
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11 octobre 2015 at 13 h 55 min
Il est très intrigant et bizarre, ce bouquin, mais je crois que je vais passer mon chemin, trop de bonnes choses à lire et pas envie de dépasser des sous pour celui-là !
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11 octobre 2015 at 14 h 00 min
Ah ben, c’est pas toi qui m’en avait déjà parler l’autre fois? En me demandant si je l’avais déjà lu?
Non, il est pas top, si tu sais l’avoir pour une bouchée de pain, pourquoi pas sinon…
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11 octobre 2015 at 14 h 10 min
Si, c’était moi, le sujet m’intéressait pas mal, ayant bossé dans la grande distrib’ mais après avoir lu ta chronique, bof bof… Et puis, je ne suis pas sûre d’avoir envie de revivre ça 😀 Après, si je le trouve d’occaz un jour, pas chez, pourquoi pas ? Mais sinon, NON ^^
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11 octobre 2015 at 14 h 13 min
Ah voilà, j’avais pensé à toi pendant ma lecture ^^
Oui, voilà, tu a bien résumer :p
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