Nombre de pages : 256.
Éditeur : Denoël.
Date de sortie : 3 mars 2016.
Prix : 20,50€
Traduit de l’italien par : Anaïs Bouteille-Bokobza.
L’histoire :
Ester Baudo est retrouvée morte dans son salon, pendue. Le reste de l’appartement a été saccagé, et ce qui semble à première vue être un suicide se révèle vite un meurtre. On fait appel à Rocco Schiavone, ce drôle d’inspecteur, amateur de joints matinaux et de jolies femmes. Dans la petite ville grise et froide d’Aoste, il croise et interroge les proches de la victime. Il y a Patrizio le mari, Irina, la femme de ménage biélorusse à l’origine de la découverte du cadavre, ou encore celle qui semble avoir été la seule amie de la défunte, Adalgisa. Si la vie de la victime se dessine peu à peu, le mystère reste entier. Qui pouvait bien en vouloir à la calme et tranquille Ester Baudo ?
Mon avis :
Merci tout d’abord aux éditions Denoël pour l’envoi de ce livre ! C’est notre premier partenariat et c’est plus ou moins réussi…
Plus ou moins ? Oui, parce que j’ai trouvé à ce livre un vrai bon point et un vrai bémol. Commençons par le vrai bon point… Qui est le personnage principal : Le vice-préfet Rocco Schiavone. C’est un enquêteur assez atypique, qui fume des joints, refuse d’être joignable la nuit et le matin avant d’avoir fumé ce fameux joint et n’hésite pas envoyer paitre aussi bien ses collègues que ses supérieurs sans parler des personnes lambda ! Je l’ai trouvé très réussi et très drôle à certains moments !
Les autres personnages sont bien réussis aussi ! Intino et Deruta qui sont un peu les Laurel et Hardy de la police… Ils sont à mourir de rire aussi ! Quels bras cassés ! Et puis il y a Italo qui commence à sortir avec sa collègue. Ces deux-là, c’est tout le contraire, ils sont assez doués. En tous cas, c’est en ses deux-là que Schiavone place sa confiance…
Passons au point négatif maintenant. C’est le manque cruel de nouveauté ! C’est du déjà vu… Jusqu’à la fin en tout cas, et c’est ce qui a rattrapé un peu le tout, mais sinon De même qu’à aucun moment, on ne s’enflamme. C’est un policier somme toute réussi, avec son rythme de croisière, où l’on ne s’ennuie pas vraiment, mais voilà quoi… ça va pas plus loin !
Un truc qui m’a amusé : Le livre se passe en Italie et a été écrit par un auteur Italien… Ce qui fait que tous les noms sont en Italien ! Ce n’est pas facile de retenir tous les noms d’ailleurs. Mais on ne dit pas commissaire mais vice-préfet ! Et le nom des rues est assez drôle aussi 🙂 Enfin, je me suis plongé dans « l’ambiance » Italienne assez facilement.
Bref : J’ai passé un bon moment, je ne me suis pas vraiment ennuyé mais… Ce livre n’est pas non plus le meilleur que j’ai pu lire !
Ma note :
Un manque d’originalité et d’action malheureusement.
6,5/10
3 avril 2016 at 10 h 48 min
Je vais passer mon chemin dans ce cas, je ne suis pas trop policier en ce moment, plus Love Stories ^^ Et humaines surtout, j’aime quand ça me touche. Probablement à cause de toutes les mer*** du monde actuellement, j’aime voir qu’on peut avoir foi en l’humanité 🙂
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3 avril 2016 at 11 h 04 min
Oui, je vois ce que tu veux dire… C’est vrai qu’en ce moment, le monde n’est pas joli-jolie
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1 avril 2016 at 12 h 51 min
Si la fin est surprenante quand même, je pense pouvoir me laisser convaincre simplement par le fait qu’il y ait de bons personnages. Puis, l’Italie, ça change des décors habituels.
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1 avril 2016 at 13 h 47 min
J’ai, en effet, été un peu surpris… Maintenant, je vois jamais rien venir alors :p
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28 mars 2016 at 10 h 40 min
Dommage pour le manque d’originalité, je ne pense pas le lire pour ce point…
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28 mars 2016 at 11 h 28 min
Je crois que c ‘est mieux de l’attendre en poche ou à la biblio…
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